Véritable plongée au cœur de l’URSSAF, machine de guerre
qui multiplie les redressements au détriment des entreprises,
URSSAF : un cancer français en dévoile les absurdités, voire les injustices.

« Toujours plus » : toujours plus de cotisations, toujours plus de contrôles, toujours plus de redressements…
Ce livre rappelle l’énorme poids de cette institution et reprend les cas les plus ahurissants prouvant l’acharnement de l’URSSAF envers les entreprises. Et ils sont nombreux.
Dotées d’un arsenal juridique incompréhensible, les URSSAF obéissent à des objectifs politiques et constituent un véritable État dans l’État.
Ce sont ces travers, que François Taquet et Nicolas Delecourt ont traqués.
Une approche vivante, pleine d’anecdotes, qui démythifie l’institution qui poursuit sa course effrénée vers le quantitatif, le résultat, la performance, au détriment et aux dépens des entreprises.
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François Taquet professeur, avocat en droit social, est spécialiste depuis plusieurs décennies dans le contentieux de l’URSSAF. Par son expérience, par sa connaissance du droit et la jurisprudence, il est probablement un des plus fins connaisseurs de la question et un des observateurs les plus avisés de ces aberrations.
Nicolas Delecourt, que François Taquet a côtoyé dans plusieurs journaux et dans plusieurs écoles de management, a co-écrit ce livre destiné au grand public : les salariés, les dirigeants mais aussi les agents et les administrateurs de l’URSSAF, qui représentent le monde de l’entreprise.

Me François Taquet et le Cercle Lafay, ou quand l’URSSAF trouve à qui parler.

« J’ai une âme de Don Quichotte et je ne cesserai pas de me battre contre ce  moulin à vent. »

 

Est ce que votre livre « URSSAF: un cancer français » concerne tout le monde, et les salariés aussi ?
Cela concerne les salariés indirectement car il y a des cotisations salariales, pas que des cotisations employeurs. Cela concerne les salariés, les entreprises et les travailleurs indépendants, les commerçants, les artisans, les professions libérales et tous ceux qui demain, risquent de se faire piquer dans le cadre du travail dissimulé, la grosse  marotte de l’URSSAF.

Cette lutte n’est elle pas légitime, quand beaucoup d’artisans paient leurs cotisations et pâtissent de cette concurrence déloyale?
Personne ne peut être pour le travail dissimulé évidemment. Sauf que cela dépend ce que l’on entend par travail dissimulé. Et là, on voit des choses incroyables. Le gars qui ramène son verre au comptoir, la brave mamie qui aide son mari à vendre des légumes… du travail dissimulé pour l’URSSAF.  J’ai  défendu Emmaüs qui s’est fait taxer de travail dissimulé ! L’URSSAF  fait son gras de tout et cela n’est pas acceptable.
Vous dénoncez le plein pouvoir de l’URSSAF.
Absolument, c’est un état dans l’État. L’URSSAF ne se gêne pas. Quand on  est pris dans ses griffes, c’est très difficile de s’en détacher. L’URSSAF est un fox-terrier, un pitbull. On discute beaucoup moins avec l’URSSAF qu’avec le Trésor public. Il faut le savoir.
Paradoxalement, cet organisme est géré par les partenaires sociaux. Il ne faut pas l’oublier. Les organismes patronaux , le Medef, la CPME… qui laissent faire.
Pourquoi laissent-ils faire ?
Ils s’en moquent complètement. ce n’est absolument pas leur préoccupation. Je fais du lobbying, je tâte le terrain auprès du Medef mais je n’ai pas de réponse. Pourquoi ? Je n’en sais rien.
Est ce que ce livre apporte des solutions ? Pourquoi acheter ce livre?
D’abord pour dénoncer une situation. Aujourd’hui, et surtout en période de Covid, l’URSSAF se montre très docteur Jekyll. Elle fait de la communication et Dieu sait si elle en fait en disant qu’elle est aux côtés des entreprises. Mais il faut connaître la face M. Hyde.
Que souhaitez vous ?
Je veux qu’il y ait beaucoup plus de dialogue. Actuellement, il y a une absence criarde de dialogue et si, à travers ce pamphlet, on arrivait à ce qu’il y ait davantage de dialogue, de sécurité juridique, de droit pour les cotisants,  de s’exprimer davantage, on ferait un grand pas en avant. Et surtout que l’infraction soit compréhensible pour tout le monde. Prenons l’exemple du travail dissimulé. Quasiment toutes les entreprises sont dans ce cas, comme Monsieur Jourdain faisait de la prose sans le savoir. Il faut que la notion de fraude soit claire et comprise.
Le dialogue est vraiment inexistant ?
Prenons la commission de recours amiable. La première étape en matière de contentieux, quand  on n’est pas d’accord. Mais finalement c’est l’URSSAF qui se réunit avec elle même puisque cette commission est composée d’administrateurs des caisses de sécurité sociale, qui, n’ont pas les compétences et ne viennent même pas aux réunions. Il y a une capitulation de tous ces organismes patronaux. En 35 ans d’URSSAF, je n’ai jamais eu gain de cause devant une commission de recours amiable ! Cela ne sert à rien. Et le cotisant ne peut même pas venir défendre son dossier, être présent. il doit envoyer un petit mémoire.
En 35 ans, ce n’est pas décourageant ?
Je ne me laisse pas vaincre comme cela; j’essaie de faire avancer les textes législatifs. Que c’est compliqué ! Car les organismes de sécu s’opposent à toutes modifications, alors que tout le monde s’y retrouvait. C’est un système soviétique !
Y a t-il eu des avancées ?
Il y en a mais pour une modification favorable aux cotisants, 4 ou 5 lui sont défavorables.
Le think tank le cercle Lafay révèle-t-il ces inquiétudes ?
Oui, énormément et je dirais même que c’est pour cela que l’URSSAF fait son travail de com, de propagande même en disant qu’ils sont à côté des entreprises, que tout se passe bien. J’ai d’ailleurs puisé le titre de mon livre dans la phrase d’un internaute. Tant que les gens ne sont pas pris dans les filets de l’URSSAF, ils n’en ont pas conscience. Jusqu’au jour où ils sont pris dans cette spirale infernale, ils pensent qu’ils vont s’expliquer. Déjà, impossible d’obtenir un rendez-vous physique avec l’URSSAF.
Y a t-il des conseils dans votre livre ?
Non, c’est un pamphlet pour faire prendre conscience aux gens de ce qu’est cette machine de guerre, sur ses pratiques dont les gens n’ont pas conscience. Les conseils sont très compliqués car cela dégénère très vite en contentieux devant les tribunaux et le but sera de démonter le dossier, de trouver une erreur de procédure pour laminer le contrôle.  Sur le fond, les URSSAF se battent comme des chiens.

Email Me François Taquet: francois-taquet@orange.fr              

URSSAF : un cancer français
Voyage au bout de l’enfer. L’URSSAF.
En ces temps pandémiques où voyager est si difficile, voici pourtant un voyage indispensable au royaume d’Absurdie.
Et pour visiter ce royaume, un  guide de voyage vient d’être publié : « URSSAF, un cancer français », de Nicolas Delecourt, journaliste et François Taquet,  professeur et avocat en droit social (Éditions du Rocher).
L’URSSAF, entreprise privée délégataire de service public, collecte 516 milliards d’euros chaque année, soit 150% du budget de l’état français, sept fois plus que le géant Apple !
Pour cela, ce roi d’Absurdie impose taille et gabelle à 25 millions de citoyens français !
Sa force ?  Un harcèlement, une impitoyable traque, grâce à un « code de la sécurité sociale » de 961 articles volontairement incompréhensibles, un « code du travail » de plus de 10.000 articles, une armée de 13500 personnes dont 1550 contrôleurs poursuivant les entreprises.
Sa loi ? La logique de l’absurde, la raison de Ubu roi, l’intelligence courtelinesque, la pensée kafkaïenne, le refus du dialogue, l’absence délibérée d’écoute.
Sa cible ? Le travail dissimulé :
L’entraide de voisinage, travail dissimulé,
La vie associative, travail dissimulé,
Le soutien familial, travail dissimulé,
Les animations de village et les petits clubs sportifs, travail dissimulé,
Le bénévolat, travail dissimulé.
Tout ce qui donc  fait société est impitoyablement traqué.
Un café servi en entreprise, travail dissimulé, voire avantage en nature. Et si l’entrepreneur a l’outrecuidance de ne pas partager l’avis de l’URSSAF, commence alors pour lui un long calvaire : commission de recours amiable, médiateur qui n’en a que le nom, puis tribunal, cour d’appel, cour de cassation, sous l’œil  concupiscent des «inspecteurs ». Car pour eux, mieux vaut une entreprise à l’agonie qu’une entreprise rétablie dans son droit. Qu’importe les salariés, l’URSSAF doit avoir raison, même contre la raison.
Tout ce qui donc fait économie est impitoyablement traqué.
Voyager en URSSAF, c’est voyager en enfer.

Revue de presse / TV

60 MINUTES BUSINESS   –  BFM BUSINESS   Par GUILLAUME PAUL
Mardi 23 février – 12:21:39
Invité : François Taquet, avocat, membre du Cercle Lafay, auteur de « URSSAF : un cancer français » aux éditions du Rocher. L’invité explique à quoi sert l’ URSSAF. Focus sur le sujet du travail dissimulé. Évocation du Medef et de la CPME qui administrent l’URSSAF.
https://www.bfmtv.com/economie/replay-emissions/soixante-minutes-business/francois-taquet-cercle-lafay-peut-on-reconcilier-ursaaf-et-entreprises-23-02_VN-202102230206.html

BERCOFF DANS TOUS SES ÉTATS – SUD RADIO  Par ANDRÉ BERCOFF Mercredi 10 février – 12:46:44
Invité : François Taquet, membre du cercle Lafay, avocat, auteur de « URSSAF, Un cancer Français » publié aux éditions du Rocher.  Les URSSAF sont contrôlées, la Cour des comptes publie des rapports. Mention des lois de financement sur la Sécurité sociale.  Évocation des conventions qui obligent l’URSSAF à produire des résultats. Les agents doivent faire du chiffre. Mention du code du Travail et du code de la Sécurité sociale…
https://www.sudradio.fr/societe/francois-taquet-le-but-de-lurssaf-est-de-faire-du-chiffre/

LE GRAND ORAL DE FRANÇOIS TAQUET, AVOCAT – 04/03/21 Par RMC INFO
François Taquet, avocat spécialiste des contrôles URSSAF et auteur de « Urssaf : un cancer français », (Ed. du Rocher), passe le Grand Oral des GG. – Avec : Marie-Anne Soubré, avocate. Johnny Blanc, fromager. Et Maxime Lledo, étudiant. – Les Grandes Gueules, du jeudi 4 mars 2021, présenté par Alain Marschall et Olivier Truchot, sur RMC et en simultané sur RMC Story. « Les Grandes Gueules » animées par Alain Marschall et Olivier Truchot sont de retour pour une 17e saison ! Agriculteur, fromager, avocat, enseignante… les 14 GG, issues de la société civile, n’ont jamais peur de défendre leurs idées.
https://actu.orange.fr/societe/videos/le-grand-oral-de-francois-taquet-avocat-04-03-CNT000001xxcYo.html

Les URSSAF, plus puissantes que l’Etat ? | Atlantico.fr
François Taquet et Nicolas Delecourt publient « URSSAF : un cancer français » aux éditions du Rocher. Les URSSAF récoltent chaque année plus de 500 milliards d’euros pour financer la Sécurité sociale. Soit plus de 1,5 fois le budget de l’État français. Elles prélèvent ces sommes auprès de 25 millions de cotisants en France (salariés, entreprises, artisans, professions libérales…), mais les lois qui leur attribuent des pouvoirs de plus en plus importants sont de plus en plus incompréhensibles. Extrait 2/2.
François Taquet : « actuellement, l’URSSAF n’a d’autre choix que de prendre les vêtements du Docteur Jekyll ; une fois la crise passée, elle reprendra très vite son costume de Mister Hyde… » | Atlantico.fr
Dans « URSSAF : un cancer français » (éditions du Rocher), François Taquet dénonce la politique du chiffre de l’URSSAF et son absence de dialogue avec les entreprises.
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Forum – Débat « Face à l’Urssaf, agir ou subir ? »


Palais des Congrès – BÉZIERS

Forum – Débat
« Face à l’Urssaf, agir ou subir ? »

Me François TAQUET – le Cercle Lafay

 

Tous concernés: chefs d’entreprise, commerçants, artisans, entrepreneurs.
Il suffit de prononcer son nom pour libérer un flot de réactions.  Négatives en majorité. L’URSSAF, organisme collecteur des cotisations sociales,  union privée, forte de 22 antennes sur le territoire national,  chargée d’une mission publique, bras lancé de l’ État dans les comptes des sociétés, devrait être considéré comme un partenaire, obligé, certes, des entreprises.
Et pourtant, elle en devient parfois le fossoyeur. Ses redressements peuvent, sinon creuser la tombe des entreprises, au moins mettre en danger leur équilibre et leur santé. Le sujet reste brûlant. Il sera au cœur d’un forum-débat « Face à l’URSSAF, agir ou subir« .
Un événement, rare, animé par l’un des grands spécialistes en la matière, Me François Taquet, avocat spécialisé en droit du travail et protection sociale, professeur de droit social et fondateur du Cercle Lafay, un groupe de réflexion et laboratoire d’idées, né il y a quelques mois, regroupant des juristes, des dirigeants d’entreprise, des experts.
Il ne sera pas question de remettre en cause l’existence de l’URSSAF, mais il s’agira d’évoquer les méthodes de contrôle, certains abus, le manque de dialogue souvent, et de soulever peut-être le véritable problème, l’opacité des lois, de la réglementation en matière de travail clandestin ou « dissimulé » qui peuvent faire de tout employeur, un fraudeur potentiel, à son corps défendant. Au centre des débats aussi, le fameux « droit à l’erreur » qui reste dans un flou juridique.
Ce forum-débat est destiné à dénoncer, mais pas seulement. On y apportera des éléments de réponse voire même de défense. On fera le point sur les possibilités d’action, en cas de redressement, car elles existent. On y  proposera des solutions pour développer le dialogue et la procédure contradictoire. Chacun pourra évoquer un vécu, une situation et réaliser qu’il n’est pas seul face à l’URSSAF, dont beaucoup dénoncent la toute-puissance.

Inscription gratuite, et dans la limite des places disponibles.   www.agir-ou-subir.fr    Email: agir-ou-subir@orange.fr

Organisation: agir-ou-subir.fr – Radio Peinard Skyrock avec la collaboration de Me François Taquet, du Cercle Lafay 
en partenariat avec l’Hérault Juridique et Économique et France Images Production

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